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Fibromes

Après opération des fibromes: Traitement bio pour guérir et éviter les opérations

Par Le Jeu 26 déc 2019 à 10:44

Un fibrome utérin est une tumeur bénigne (non cancéreuse) se développant à la surface ou à l’intérieur du tissu musculaire de l’utérus. Cette affection est fréquente et favorisée par certains facteurs tels que l’hérédité ou les hormones. Ils sont bénins au sens où ils ne sont jamais un cancer. Mais les fibromes peuvent être embêtants s'ils entraînent des complications comme une hémorragie interne. Il s'agit d'une tumeur bénigne mais qui peut se révéler dangereuse du fait de son volume, de sa vascularisation.

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fibromes utérins

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Les symptômes

Dans la majorité des cas, les fibromes utérins ne sont responsables d’aucun symptôme. Ils sont alors découverts de manière fortuite à l’occasion d’un examen gynécologique de routine ou lors d’une échographie ou autre examen d’imagerie médicale effectué pour une autre raison.

Dans les cas où il existe des symptômes, ce sont :

  • Des saignements entre les règles (métrorragies) ;
  • Des saignements abondants lors des menstruations (ménorragies) ;
  • Une sensation de froid, plus ou moins douloureuse, dans le petit bassin ;
  • Des envies fréquentes d’uriner ;
  • La sensation d’une masse dans le ventre ;
  • Une constipation ;
  • Des douleurs lors des rapports sexuels.

Les causes

On connaît mal la cause des fibromes. Leur existence est probablement le résultat d’un ensemble de facteurs génétiques, hormonaux et environnementaux.

Il semble que le fibrome ait pour origine une seule cellule de la paroi utérine qui subit une mutation génétique et commence à se multiplier de façon incontrôlée. Par la suite, les oestrogènes (hormones féminines) agissent sur ce fibrome et stimulent sa croissance.

L’hérédité semble aussi jouer un grand rôle. Si une mère a eu un fibrome, sa fille présente plus de risque d’en avoir aussi.

Traitement

Aucun traitement ne permet de supprimer définitivement un fibrome de l’utérus. En revanche, certains médicaments permettent d’apaiser les symptômes.

Le traitement envisagé dépend de l’âge de la patiente et de son désir de grossesse, de l’importance des symptômes, des caractéristiques des fibromes et de l’état de santé de la patiente. Il existe en effet différents types de traitement : l’abstention, les médicaments, la chirurgie ou l’embolisation.

Il est préférable de s’abstenir de tout traitement lorsque le fibrome utérin n’entraîne aucun symptôme. Une simple surveillance est suffisante.

Lorsque le médecin opte pour un traitement médicamenteux, il existe plusieurs molécules :

  • Des progestatifs afin de diminuer les saignements pendant et entre les menstruations. Ils peuvent être prescrits par voie orale ou par voie intra-utérine (stérilet) ;
  • Des analogues de la gonadolibérine (GnRH) sont recommandés lorsque le fibrome est volumineux ou à l’origine d’une anémie. Ils sont généralement utilisés avant un traitement chirurgical visant à retirer les tumeurs ou en attendant la ménopause ;
  • L’ulipristal est utilisé de façon séquentielle (par cycle de 3 mois maximum) en cas de symptômes modérés à sévères chez une femme en âge de procréer. Il peut également être utilisé en traitement préopératoire ;
  • Certains médicaments (par exemple l’acide tranexamique) diminuant les saignements ;
  • Des antalgiques pour diminuer les douleurs.

Le traitement chirurgical est nécessaire lorsque le fibrome est à l’origine d’hémorragies ou de douleurs importantes, d’infertilité ou lorsqu’il est trop volumineux. Il existe deux techniques principales : la myomectomie (retirer les fibromes en conservant l’utérus) ou l’hystérectomie (ablation de l’utérus). Quelle que soit la méthode choisie, le chirurgien peut intervenir par coelioscopie, laparotomie (en ouvrant la paroi abdominale) ou par voie naturelle (via le vagin).

L’embolisation artérielle est une alternative à la chirurgie lorsque la patiente n’a pas de désir de grossesse. L’opération vise à obstruer les vaisseaux alimentant le fibrome par injection de produit sous contrôle radiologique. Le fibrome qui n’est plus alimenté, régresse progressivement, ce qui permet d’atténuer les symptômes.

Un arrêt de travail allant de 3 à 8 semaines est prescrit par le médecin.

Après une intervention chirurgicale pour fibrome utérin, restez vigilante face à d’éventuelles complications. Pendant votre convalescence et votre arrêt de travail, soyez prudente en reprenant vos activités et vos déplacements. Ainsi, vous récupérerez plus rapidement.

Vous avez subi une intervention chirurgicale pour un fibrome utérin(myomectomie ou hystérectomie) ? Les suites opératoires sont généralement simples.

Cependant, dans les jours qui suivent l’opération, restez attentive et signalez à votre médecin traitant tout symptôme qui vous paraîtrait anormal, tel que :

  • fièvre ;
  • douleurs abdominales ;
  • apparition d’un hématome dans la zone opérée ;
  • saignements importants ;
  • douleur et durcissement d'un mollet ;
  • douleur thoracique et essoufflement.

En effet, ces signes peuvent être révélateurs d’une complication (plaie d'un organe pelvien, infection, hémorragie,phébite, embolie pulmonaire, etc.)

Pour éviter les complications, suivez les conseils du chirurgien et de votre médecin traitant :

  • ne restez pas couchée et marchez pour limiter les risques de phlébite ;
  • respectez les prescriptions de votre traitement médicamenteux.

LA CONVALESCENCE ET L’ARRÊT DE TRAVAIL APRÈS CHIRURGIE POUR FIBROME DE L'UTÉRUS

Suivez les conseils du chirurgien et de votre médecin traitant :

  • Évitez de porter de lourdes charges (plus de 5 kg) pendant 3 semaines environ.
  • Après une hystérectomie, les relations sexuelles sont déconseillées pendant 6 semaines.
  • Soyez vigilante pour vos déplacements en voiture, en train ou en avion. Les voyages prolongés en voiture, en train ou en avion sont déconseillés pendant 2 semaines environ. La conduite automobile est souvent possible après 2 à 3 jours pour les interventions sous cœlioscopie (pour de courts trajets), après 14 jours pour les opérations par voie vaginale et après 21 jours en cas de laparotomie.
  • Demandez à votre chirurgien à quelle date vous pourrez reprendre vos activités sportives. Après laparotomie, une marche de 30 à 60 minutes ou la natation sont possibles après 2 à 3 semaines et les sports violents après 6 semaines.

Si vous avez une activité professionnelle, votre médecin vous a prescrit un arrêt de travail d’une période variant généralement de 3 à 8 semaines. Sa durée varie selon plusieurs critères :

  • votre état de santé général ;
  • votre âge ;
  • la technique chirurgicale employée (arrêt beaucoup plus court en cas d’intervention par cœlioscopie) ;
  • le métier que vous exercez (arrêt plus long en cas de travail physique) ;
  • votre temps de transport quotidien.

En outre, si vous pratiquez un métier physique, n’hésitez pas à contacter votre médecin du travail. Vous pourrez peut-être bénéficier temporairement d’un poste de travail adapté.