La dystrophie ovarienne, également connue sous le nom de syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), est un trouble endocrinien courant chez les femmes en âge de procréer. Il se caractérise par des déséquilibres hormonaux qui peuvent entraîner divers symptômes et complications.

Nous avons un remède naturel très efficace pour soigner la dystrophie ovarienne.

Traitement naturel à base de plantes pour guérir la dystrophie ovarienne

Le traitement que nous vous proposons est un remède entièrement naturel formulé à partir d'un mélange exclusif de plantes et d'écorces africaines soigneusement sélectionnées pour leur efficacité dans le traitement de la dystrophie ovarienne.

Cette formule unique combine des extraits de plantes hautement bénéfiques pour rétablir l'équilibre hormonal, réguler le cycle menstruel et favoriser la santé globale des ovaires.

Notre traitement naturel est conçu pour soutenir la santé ovarienne et aider les femmes à retrouver un équilibre hormonal optimal pour une meilleure qualité de vie.

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Plantes et remèdes naturels contre la dystrophie ovarienne

Voici quelques plantes et remèdes naturels qui peuvent être bénéfiques pour atténuer les symptômes de la dystrophie ovarienne :

• Cannelle (Cinnamomum verum)

La cannelle peut aider à améliorer la sensibilité à l'insuline, ce qui est essentiel pour les femmes atteintes de dystrophie ovarienne présentant une résistance à l'insuline. Sa consommation régulière sous forme de thé ou d'ajout dans les aliments peut être utile.

• Curcuma (Curcuma longa)

Le curcuma possède de puissantes propriétés anti-inflammatoires qui peuvent aider à réduire l'inflammation associée à la dystrophie ovarienne. Il peut être consommé sous forme de thé ou ajouté à des plats cuisinés.

• Racine de réglisse (Glycyrrhiza glabra)

La réglisse possède des propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes, ce qui en fait un remède potentiel pour réduire l'inflammation et favoriser l'équilibre hormonal. Elle peut être consommée sous forme de thé ou de complément alimentaire.

• Ginseng (Panax ginseng)

Le ginseng peut aider à réguler les niveaux d'hormones et à améliorer la résistance au stress, ce qui peut être bénéfique pour les femmes atteintes de dystrophie ovarienne. Il peut être consommé sous forme de thé ou de complément alimentaire.

• Fenugrec (Trigonella foenum-graecum)

Le fenugrec peut aider à réguler les niveaux d'insuline et à améliorer la sensibilité à l'insuline, ce qui peut être utile pour les femmes présentant une résistance à l'insuline. Il peut être consommé sous forme de graines, de poudre ou de complément alimentaire.

• Racine de pivoine (Paeonia lactiflora)

La racine de pivoine possède des propriétés anti-inflammatoires et peut aider à soulager les crampes menstruelles et les douleurs associées à la dystrophie ovarienne. Elle peut être consommée sous forme de thé ou de complément alimentaire.

• Gingembre (Zingiber officinale)

Le gingembre possède des propriétés anti-inflammatoires et peut aider à réduire les douleurs menstruelles associées à la dystrophie ovarienne. Il peut être consommé frais, sous forme de thé ou ajouté à des plats cuisinés.

• Chardon-Marie (Silybum marianum)

Le chardon-Marie possède des propriétés hépatoprotectrices, aidant ainsi à soutenir la santé du foie, qui joue un rôle important dans le métabolisme hormonal. Il peut être consommé sous forme de thé ou de complément alimentaire.

• Maca (Lepidium meyenii)

La maca peut aider à réguler les niveaux d'hormones et à améliorer la fertilité, ce qui peut être bénéfique pour les femmes atteintes de dystrophie ovarienne. Elle peut être consommée sous forme de poudre, de complément alimentaire ou ajoutée à des smoothies.

• Agnus-castus (Vitex agnus-castus)

L'agnus-castus peut aider à réguler les niveaux d'hormones, en particulier en régulant les niveaux de prolactine et en favorisant l'équilibre hormonal. Il peut être consommé sous forme de thé ou de complément alimentaire.

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• Racine de valériane (Valeriana officinalis)

La valériane possède des propriétés calmantes et peut aider à réduire le stress, ce qui peut être bénéfique pour les femmes atteintes de dystrophie ovarienne. Elle peut être consommée sous forme de thé ou de complément alimentaire.

• Griffonia (Griffonia simplicifolia)

Le griffonia peut aider à améliorer l'humeur et à réduire les symptômes de dépression associés à la dystrophie ovarienne. Il est souvent disponible sous forme de complément alimentaire.

• Racine de dong quai (Angelica sinensis)

La racine de dong quai peut aider à réguler les niveaux d'oestrogène et à soulager les crampes menstruelles, ce qui peut être bénéfique pour les femmes atteintes de dystrophie ovarienne. Elle peut être consommée sous forme de thé ou de complément alimentaire.

• Ail (Allium sativum)

L'ail possède des propriétés anti-inflammatoires et peut aider à réguler les niveaux d'insuline, ce qui peut être utile pour les femmes présentant une résistance à l'insuline. Il peut être consommé cru, cuit ou sous forme de complément alimentaire.

• Feuilles de framboisier (Rubus idaeus)

Les feuilles de framboisier peuvent aider à renforcer l'utérus et à réguler les menstruations, ce qui peut être bénéfique pour les femmes atteintes de dystrophie ovarienne. Elles peuvent être consommées sous forme de thé ou de complément alimentaire.

• Bardane (Arctium lappa)

La bardane possède des propriétés dépuratives et peut aider à éliminer les toxines du corps, ce qui peut être bénéfique pour les femmes atteintes de dystrophie ovarienne. Elle peut être consommée sous forme de thé ou de complément alimentaire.

• Sauge (Salvia officinalis)

La sauge possède des propriétés régulatrices hormonales et peut aider à soulager les bouffées de chaleur associées à la dystrophie ovarienne. Elle peut être consommée sous forme de thé ou ajoutée à des plats cuisinés.

• Astragale (Astragalus membranaceus)

L'astragale possède des propriétés immunostimulantes et peut aider à renforcer le système immunitaire, ce qui peut être bénéfique pour les femmes atteintes de dystrophie ovarienne. Il peut être consommé sous forme de thé ou de complément alimentaire.

• Ginkgo biloba (Ginkgo biloba)

Le ginkgo biloba peut aider à améliorer la circulation sanguine, ce qui peut être bénéfique pour la santé ovarienne. Il peut être consommé sous forme de thé ou de complément alimentaire.

Il est important de noter que bien que ces plantes et remèdes naturels puissent aider à atténuer les symptômes de la dystrophie ovarienne, ils ne constituent pas un substitut au traitement médical approprié.

Avant d'utiliser tout remède naturel, il est essentiel de consulter un professionnel de la santé pour discuter des options de traitement les plus appropriées. De plus, il est important de respecter les posologies recommandées et de signaler toute réaction indésirable.

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Conseils aux femmes atteintes de dystrophie ovarienne

Si vous êtes atteinte de dystrophie ovarienne, il est essentiel de prendre soin de votre santé globale tout en travaillant avec votre médecin pour gérer les symptômes et réduire les risques de complications.

Voici quelques conseils importants :

• Consultez régulièrement votre médecin : Assurez-vous de suivre régulièrement un suivi médical avec un gynécologue ou un endocrinologue pour surveiller l'évolution de la dystrophie ovarienne et ajuster les traitements si nécessaire.
• Adoptez un mode de vie sain : Mangez équilibré en privilégiant les aliments à faible indice glycémique, faites de l'exercice régulièrement et maintenez un poids santé, car cela peut aider à réduire les symptômes de la dystrophie ovarienne.
• Gérez le stress : Le stress peut aggraver les symptômes de la dystrophie ovarienne. Pratiquez des techniques de gestion du stress telles que la méditation, le yoga, la respiration profonde ou la thérapie pour maintenir un équilibre émotionnel.
• Soyez attentif aux signes de complications : Surveillez tout symptôme inhabituel et signalez-le à votre médecin dès que possible. Cela inclut les changements soudains de poids, les douleurs abdominales intenses, les saignements anormaux ou tout autre symptôme inquiétant.
• Suivez les traitements prescrits : Si votre médecin vous a prescrit un traitement pour gérer les symptômes de la dystrophie ovarienne, assurez-vous de suivre les instructions attentivement. N'arrêtez pas ou ne modifiez pas les doses sans consulter votre médecin au préalable.
• Soyez consciente de votre fertilité : Si vous envisagez une grossesse, discutez avec votre médecin des options de traitement et des mesures pour optimiser vos chances de concevoir, car la dystrophie ovarienne peut entraîner des difficultés de fertilité.
• Éduquez-vous : Apprenez autant que possible sur la dystrophie ovarienne et ses implications pour votre santé. Comprenez les effets potentiels sur votre corps et soyez proactif dans la gestion de votre condition.
• Rejoignez une communauté de soutien : Interagissez avec d'autres femmes qui souffrent de la même condition pour obtenir des conseils pratiques, du soutien émotionnel et des informations utiles sur la gestion de la dystrophie ovarienne.
• Soyez patiente : La gestion de la dystrophie ovarienne peut prendre du temps. Soyez patiente avec vous-même et avec le processus de traitement, car l'amélioration peut nécessiter des ajustements et des efforts continus.
• Soyez proactive dans votre santé : Continuez à surveiller votre santé et soyez proactive dans la gestion de la dystrophie ovarienne. Informez votre médecin de tout changement significatif dans vos symptômes ou votre état de santé général.

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Comment éviter la dystrophie ovarienne ?

Étant donné que la dystrophie ovarienne, également connue sous le nom de syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), est souvent le résultat d'une combinaison de facteurs génétiques, hormonaux et environnementaux, il n'est pas toujours possible de l'éviter complètement.

Cependant, certaines stratégies peuvent potentiellement réduire le risque de développer cette condition ou en atténuer les effets. Voici quelques conseils qui peuvent être utiles pour réduire le risque de dystrophie ovarienne :

• Maintenir un mode de vie sain : Adoptez une alimentation équilibrée riche en fruits, légumes, grains entiers et protéines maigres. Limitez la consommation d'aliments transformés, de sucres ajoutés et de graisses saturées. Faites de l'exercice régulièrement pour maintenir un poids santé et réduire le risque de résistance à l'insuline.
• Gérer le stress : La gestion efficace du stress peut contribuer à maintenir un équilibre hormonal sain. Pratiquez des techniques de relaxation telles que la méditation, le yoga, la respiration profonde ou la thérapie pour réduire les niveaux de stress.
• Surveiller la santé hormonale : Si vous présentez des signes de déséquilibre hormonal, tels que des cycles menstruels irréguliers, un excès de poils sur le visage et le corps, une acné persistante ou des problèmes de poids, consultez un médecin pour un examen et un suivi régulier.
• Éviter les toxines environnementales : Limitez votre exposition à des substances chimiques nocives présentes dans les produits de soins personnels, les aliments transformés et l'environnement de vie en général. Utilisez des produits de nettoyage naturels et évitez les plastiques contenant des perturbateurs endocriniens.
• Équilibrer la glycémie : Évitez les pics de glycémie en limitant la consommation d'aliments riches en sucre et en favorisant des aliments à faible indice glycémique. Cela peut aider à maintenir la sensibilité à l'insuline et à réduire le risque de développement de résistance à l'insuline.
• Éducation et sensibilisation : Familiarisez-vous avec les signes et les symptômes de la dystrophie ovarienne afin de pouvoir reconnaître tout changement anormal dans votre corps. Une éducation adéquate peut favoriser une détection précoce et une prise en charge efficace si des problèmes surviennent.

Bien qu'il ne soit pas possible de prévenir complètement la dystrophie ovarienne, ces mesures peuvent contribuer à réduire le risque de développer des complications associées et à maintenir un équilibre hormonal sain.

Il est toujours important de consulter un professionnel de la santé pour obtenir des conseils personnalisés et des recommandations adaptées à votre situation spécifique.

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Causes de la dystrophie ovarienne

La dystrophie ovarienne, également connue sous le nom de syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), est une condition complexe dont les causes précises ne sont pas entièrement comprises. Cependant, plusieurs facteurs peuvent contribuer au développement de cette condition.

Les principales causes possibles de la dystrophie ovarienne comprennent :

• Facteurs hormonaux : Des déséquilibres hormonaux, notamment une augmentation des niveaux d'androgènes (hormones mâles) tels que la testostérone, ainsi que des niveaux élevés d'insuline, peuvent jouer un rôle clé dans le développement de la dystrophie ovarienne. Ces déséquilibres peuvent entraîner des anomalies dans la libération des ovules et dans le fonctionnement des ovaires.
• Résistance à l'insuline : La résistance à l'insuline, qui est souvent associée à l'obésité et à un mode de vie sédentaire, peut contribuer au développement de la dystrophie ovarienne. Cette résistance à l'insuline peut perturber les niveaux d'hormones et déclencher des symptômes tels que la production excessive d'androgènes.
• Facteurs génétiques : Des facteurs génétiques et familiaux peuvent jouer un rôle dans le développement de la dystrophie ovarienne. Des antécédents familiaux de la condition peuvent accroître le risque de développer le SOPK.
• Inflammation : Des niveaux élevés de certaines molécules inflammatoires dans le corps peuvent contribuer au développement de la dystrophie ovarienne. L'inflammation chronique peut altérer la fonction ovarienne et perturber la production d'hormones.
• Facteurs environnementaux : Certains produits chimiques environnementaux, tels que les perturbateurs endocriniens présents dans les produits de soins personnels, les plastiques et d'autres matériaux de consommation, peuvent interférer avec le fonctionnement hormonal et contribuer au développement de la dystrophie ovarienne.

Il convient de noter que la dystrophie ovarienne peut résulter de l'interaction complexe de plusieurs de ces facteurs, et que la compréhension précise des mécanismes sous-jacents de cette condition nécessite des recherches supplémentaires.

Chaque cas peut être unique et être influencé par une combinaison de ces facteurs de risque. Si vous soupçonnez être atteinte de dystrophie ovarienne, il est important de consulter un professionnel de la santé pour un diagnostic précis et des recommandations de traitement adaptées.

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Symptômes de la dystrophie ovarienne

La dystrophie ovarienne, également connue sous le nom de syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), peut présenter une variété de symptômes qui peuvent varier en intensité d'une personne à l'autre.

Les symptômes les plus courants comprennent :

• Anomalies menstruelles : Les femmes atteintes de dystrophie ovarienne peuvent présenter des cycles menstruels irréguliers, notamment des périodes menstruelles manquées, des saignements abondants ou prolongés, ou des cycles menstruels très longs.
• Hirsutisme : Cela se réfère à la croissance excessive de poils sur le visage, la poitrine, l'abdomen et d'autres parties du corps. Cette croissance de poils est souvent de type masculin et peut être source de détresse émotionnelle pour de nombreuses femmes.
• Acné persistante : Les femmes atteintes de dystrophie ovarienne peuvent être sujettes à une acné persistante, en particulier sur le visage, la poitrine et le haut du dos. Cette acné peut être plus difficile à traiter que l'acné typique.
• Résistance à l'insuline : La dystrophie ovarienne peut être associée à une résistance à l'insuline, ce qui peut entraîner une prise de poids, une augmentation de la graisse abdominale, une difficulté à perdre du poids et un risque accru de diabète de type 2.
• Problèmes de fertilité : En raison des dysfonctionnements hormonaux et des irrégularités de l'ovulation, les femmes atteintes de dystrophie ovarienne peuvent avoir des difficultés à concevoir et peuvent présenter des problèmes de fertilité.
• Kystes ovariens : Bien que le terme "polykystique" soit utilisé pour décrire cette condition, tous les cas de dystrophie ovarienne ne présentent pas nécessairement des kystes. Cependant, l'échographie peut révéler la présence de multiples petits follicules dans les ovaires.
• Perte de cheveux : Une perte de cheveux de type masculin, également connue sous le nom d'alopécie androgénétique, peut être observée chez certaines femmes atteintes de dystrophie ovarienne.

Il est important de noter que tous les symptômes ne sont pas systématiques et peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre. Si vous présentez des symptômes suspects de dystrophie ovarienne, il est crucial de consulter un professionnel de la santé pour un diagnostic précis et un plan de traitement approprié.

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Diagnostic médical de la dystrophie ovarienne

Le diagnostic de la dystrophie ovarienne est généralement établi par un professionnel de la santé, tel qu'un gynécologue ou un endocrinologue, à l'aide d'une combinaison d'antécédents médicaux complets, d'un examen physique et de tests de laboratoire.

Voici les principaux éléments impliqués dans le processus de diagnostic de la dystrophie ovarienne :

• Antécédents médicaux et examen physique : Votre médecin commencera par recueillir des informations détaillées sur vos antécédents médicaux, y compris vos symptômes actuels, vos antécédents menstruels, tout problème de fertilité, vos habitudes alimentaires et votre mode de vie. Un examen physique sera également effectué pour rechercher des signes tels que l'acné, la croissance excessive de poils et tout changement anormal dans vos organes reproducteurs.
• Analyses de sang : Des analyses de sang sont généralement effectuées pour mesurer les niveaux d'hormones, y compris les hormones sexuelles, les hormones thyroïdiennes et l'insuline. Les tests peuvent inclure la mesure de la testostérone, de l'hormone folliculo-stimulante (FSH), de l'hormone lutéinisante (LH), de l'œstradiol, de la prolactine, de la TSH (hormone stimulant la thyroïde) et des niveaux d'insuline.
• Échographie pelvienne : Une échographie pelvienne est souvent effectuée pour examiner les ovaires et l'utérus. Cela peut révéler la présence de kystes ovariens ou de nombreux petits follicules, ce qui est caractéristique de la dystrophie ovarienne. Cependant, la présence de kystes n'est pas nécessaire pour établir un diagnostic de SOPK.
• Tests de résistance à l'insuline : Des tests spécifiques peuvent être effectués pour évaluer la résistance à l'insuline, car cette condition est souvent associée à la dystrophie ovarienne. Cela peut inclure des tests de glycémie à jeun, des tests de tolérance au glucose ou des tests d'hémoglobine glyquée (HbA1c).
• Élimination des autres conditions : Votre médecin peut également effectuer des tests pour éliminer d'autres affections présentant des symptômes similaires, telles que des troubles thyroïdiens, des tumeurs surrénaliennes ou des affections hormonales.

Un diagnostic précis est essentiel pour établir un plan de traitement approprié. Si vous présentez des symptômes suspects de dystrophie ovarienne, il est important de consulter un professionnel de la santé pour une évaluation complète.

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Traitement médical de la dystrophie ovarienne

Le traitement de la dystrophie ovarienne vise à atténuer les symptômes spécifiques de la condition, à restaurer l'équilibre hormonal, à améliorer la sensibilité à l'insuline et à aider à réguler les cycles menstruels. Le traitement peut varier en fonction des symptômes individuels, des objectifs de fertilité et d'autres considérations médicales.

Voici quelques approches courantes pour la gestion médicale de la dystrophie ovarienne :

• Contrôle du poids : Maintenir un poids santé peut aider à réduire la résistance à l'insuline et à améliorer la régularité des cycles menstruels. Un régime alimentaire équilibré et l'exercice physique régulier sont essentiels.
• Régulateurs hormonaux : Des contraceptifs oraux peuvent être prescrits pour aider à réguler les cycles menstruels, réduire l'acné et l'hirsutisme, ainsi que pour contrôler les niveaux d'hormones.
• Médicaments pour la fertilité : Des médicaments tels que le citrate de clomifène peuvent être prescrits pour stimuler l'ovulation chez les femmes souhaitant concevoir. Des injections d'hormones peuvent également être utilisées pour stimuler l'ovulation.
• Médicaments pour la sensibilité à l'insuline : Des médicaments tels que la metformine peuvent être prescrits pour améliorer la sensibilité à l'insuline, réduire les niveaux d'insuline et aider à réguler les cycles menstruels.
• Anti-androgènes : Des médicaments anti-androgènes tels que la spironolactone peuvent être utilisés pour réduire la croissance excessive de poils et l'acné en bloquant les effets des hormones mâles.
• Chirurgie : Dans certains cas, une intervention chirurgicale, telle qu'une laparoscopie ovarienne, peut être recommandée pour enlever les kystes ou pour traiter la résistance à l'insuline chez les femmes en surpoids.
• Gestion des symptômes : Le traitement des symptômes individuels, tels que l'acné, la croissance excessive de poils ou les problèmes de poids, peut être abordé de manière spécifique avec des médicaments ou des interventions adaptées.

Il est essentiel de discuter des options de traitement avec un professionnel de la santé pour déterminer le plan le mieux adapté à votre situation spécifique. Un suivi régulier avec un médecin est important pour surveiller les progrès, ajuster les traitements si nécessaire et prévenir toute complication potentielle.

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Les troubles de l'ovulation entrainant une absence de production d'un ovocyte fécondable, sont la cause la plus fréquente d'infertilité féminine

Définition : qu'est-ce qu'un trouble de l'ovulation ?

• "Un trouble de l'ovulation signifie "mal ovuler". Soit la femme n'ovule pas du tout. Il y a anovulation. Soit l'ovulation est de mauvaise qualité et ne permet pas de faire un ovocyte de qualité adéquate pour entraîner une grossesse. Il s'agit d'une dysovulation" informe le Dr Elisabeth Paganelli, gynécologie médicale et Secrétaire Générale du Syndicat National des Gynécologues et Obstétriciens de France (SYNGOF). Cependant , les experts des PlantesAfricaines sont parvenus à mettre au point un traitement naturel à base de plantes  entrainant la production d'ovules chez les femmes infertiles. Plusieurs de nos patientes atteintes d'insuffisance ovarienne précoce ont déjà donné naissance à un enfant   . Cliquez sur l’image ci –dessous pour découvrir ce traitement naturel :
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Causes des troubles de l'ovulation

"Les troubles de l'ovulation peuvent être dus à des troubles hormonaux (comme l'hyperprolactinemie -trop de prolactine), des ovaires vieillissants (période habituelle de pré-ménopause ou ménopause précoce) ou encore le syndrome des ovaires polykystiques" décrit le Dr Elisabeth Paganelli. L'anovulation peut aussi trouver son origine dans des troubles des centres nerveux qui contrôlent le cycle ovarien, y compris un choc psychologique.

A retenir : les principales causes de troubles de l'ovulation sont soit ovariennes (ovaires polykystiques ou insuffisance ovarienne), soit hypothalamo-hypophysaires, dues à une anomalie de sécrétion hormonale.

Une fausse couche ne peut pas entraîner de trouble de l'ovulation.

Trouble de l'ovulation après une fausse couche

Une fausse couche ne peut pas entraîner de trouble de l'ovulation. "Si la femme a eu une fausse couche car l'ovocyte n'était pas de bonne qualité, elle peut revenir à une dysovulation. Lorsqu'une femme fait plusieurs fausses couches, il faut rechercher un problème de qualité de l'ovocyte, pas de cycle" indique la spécialiste.

"Après une fausse couche ou une interruption volontaire de grossesse (IVG), les femmes ovulent souvent un peu plus tard. Elles ont plutôt un cycle de 5 semaines si on ne le bloque pas. Elles ovulent plutôt au bout de trois semaines" indique le Dr Elisabeth Paganelli.

Symptômes

Les troubles de l'ovulation (anovulation ou dysovulation) peuvent être évoqués en cas d'absence de règle (aménorrhée) ou de règles irrégulières (dysménorrhée). "Une femme qui a des règles irrégulières peut ovuler ou ne pas ovuler" précise le Dr Elisabeth Paganelli.

Diagnostic

Le diagnostic des troubles de l'ovulation est basé sur un interrogatoire et un examen clinique. "Nous avons tendance aujourd'hui à explorer avec des dosages hormonaux et et une échographie des ovaires pour regarder le nombre et la taille des follicules. Cette échographie permet de voir s'il n'y a pas ou peu de follicule visible à l'echographie, signe d'ovaires vieillissants" précise notre interlocutrice.

Traitements

Le traitement des troubles de l'ovulation se fait en fonction de la cause. "Les traitements peuvent être identiques à ceux de la PMA, soient des inducteurs de l'ovulation ; si le trouble de l'ovulation est lié à un taux trop important de prolactine, des médicaments sont prescrits pour faire baisser le taux de prolactine; si les troubles d'ovulation sont dus à une obésité la perte de poids peut améliorer l'ovulation, informe la gynécologue. Le seul cas dans lequel nous n'avons pas de traitement efficace est l'insuffisance ovarienne".

A savoir : "on ne conseille plus aux femmes d'attendre un ou deux ans en cas de troubles d'ovulation et de désir de grossesse. Une femme qui a des cycles de 40 ou 60 jours ovule peu et a peu de chances de grossesse. Les gynécologues peuvent prescrire des traitements pour augmenter la quantité d'ovulations annuelles et augmenter les chances de grossesse" indique le Dr Elisabeth Paganelli.

Trouble de l'ovulation et infertilité

Dans 30% des cas, l'infertilité est d'origine féminine. "Dans les pays occidentaux, les causes les plus fréquentes d'infertilité féminine sont les troubles de l'ovulation. Les gynécologues peuvent aider les femmes à améliorer leur ovulation sauf dans le cas de l'insuffisance ovarienne sévère. Un don d'ovocyte peut permettre une grossesse à une femme dans ce cas", conlut-elle. En ce qui concerne le syndrome des ovaires polykystiques ou dystrophie ovarienne ou SOMPK ou OPK c’est une association de signes cliniques avec troubles de l’ovulation et souvent règles espacées, acné, hyperpilosité (excès de poils) et parfois surpoids abdominal (graisse sur le ventre),d’anomalies biologiques avec excès des androgènes (hormones mâles) et trop d’insuline (l’hormone qui diminue la glycémie, le sucre dans le sang) et d’anomalies échographiques avec beaucoup de follicules répartis en couronnes sur les ovaires

° Est ce fréquent ? oui, c’est fréquent environ 10% des femmes

° Est ce grave ? non, il vaut mieux avoir un excès de follicules que trop peu et le pronostic de fertilité reste bon si l’on est patient et prudent

° Existe-t-il un traitement ? Oui il y en a même plusieurs

– Souvent une alimentation équilibrée et de l’activité physique régulière peuvent aider à améliorer l’ovulation ceci est prouvé !!!

– Traitements à type de metformine et myoinositol peuvent être utiles.

– Des traitements de stimulations de l’ovulation sont souvent nécessaires avec une surveillance échographique avec soit des comprimés de citrate de clomiphène soit des piqures de FSH (gonadotrophines) à doses progressives et par palier.

° Le SOPK touche les ovaires mais comme il s’agit d’une maladie endocrinienne, il a un impact sur tout l’équilibre hormonal et peut entrainer différentes complications au niveau métabolique, cardiovasculaire, reproductif mais aussi général. On parle d’ailleurs d’affection systémique. Parmi les complications possibles on note:

• une hypofertilité ;
• en cas de grossesse, un risque accru de fausse-couche, d’accouchement prématuré, de diabète gestationnel et de pré-eclampsie. Ce risque est d’autant plus augmenté en cas de surpoids ;
• une intolérance au glucose et un diabète de type 2 ;
• des anomalies lipidiques (hypertriglycéridémie, hypercholestérolimie) ;
• une hypertension artérielle ;
• une dépression ;
• un syndrome d’apnée du sommeil ;
• des maladies cardio-vasculaires (macroangiopathie, thrombophilie) ;
• certains cancers féminins (endomètre, sein, ovaire selon certaines études, mais les autres facteurs de risque tels que l’obésité sont à prendre en compte).

Comment traiter le syndrome des ovaires polykystiques naturellement

Plusieurs études montrent que la nourriture et le mode de vie jouent un rôle clé dans le développement du SOPK. Selon votre type de SOPK, il est peut-être plus important de cibler un ou deux points, mais, dans mon expérience, ils sont tous importants. Voici mes conseils :

• Stabilisez votre taux de sucre dans le sang : la stabilisation de l’insuline, par le choix d'une alimentation avec un index glycémique bas, est un élément essentiel pour un bon équilibre hormonal. Des taux chroniquement élevés d’insuline activent également l’inflammation dans le corps ;
• Réduire l’inflammation chronique : comme indiqué plus haut, le SOPK est souvent lié à une inflammation chronique dans le corps, et éliminer tous les aliments pro-inflammatoires tels que le lactose, le gluten et le sucre raffiné aide fortement à réduire les symptômes ;
• Osez la graisse (l’huile de coco, l’huile d’avocat, les graisses animales telles que le lard, la graisse de canard, mais aussi l’huile d’olive et le ghee) : nos hormones sexuelles sont constituées de cholestérol et de protéines. Si vous ne mangez pas assez de bonnes graisses, votre corps sera incapable d’en produire. Quand j’étais plus jeune, beaucoup de médecins me félicitaient pour mes taux très bas de LDL… La vérité est que ce n’est pas très bon d’avoir des taux de cholestérol bas ;
• Faites une cure de détox : les femmes souffrant de SOPK sont souvent plus sensibles aux perturbateurs endocriniens tels que les plastiques, les produits de maquillage riches en métaux lourds, etc. Comme si ce n’était pas assez, les femmes souffrant de troubles hormonaux et plus précisément de SOPK éliminent mal leurs toxines ! Alors, comment faire ? Eh bien, mis à part suivre le régime le plus anti-inflammatoire possible, évitez le tabac, l’alcool en excès, trop de produits chimiques et toxiques à la fois au niveau du corps et des produits d’entretien de la maison ;

• Favorisez une nourriture dense en nutriments tels que les abats (véritables bombes en vitamines et minéraux et notamment en fer et en vitamine A), les poissons gras (pleins d’Omega 3 (effet anti-inflammatoire) et qui contiennent de la vitamine D (importante pour la production des hormones sexuelles), des avocats (pour les bonnes graisses) et des fruits de mer (pour le zinc et l’iode)

Les symptômes du syndrome des ovaires polykystiques

Le SOPK peut sa manifester par différents signes cliniques, avec des tableaux et degrés différents selon les femmes :

Des signes gynécologiques :

• règles irrégulières (spanioménorrhée), peu fréquentes (oligoménorrhée) ou absentes (aménorrhée)
• des saignements excessifs pendant les règles (ménorragies) ;
• une augmentation du volume des ovaires avec formation de nombreux petits kystes à l'intérieur ;
• des difficultés à concevoir.

Des troubles cutanés, conséquences de l’androgynie :

• un hirsutisme (pilosité sur des zones normalement glabres chez la femme : visage, cou…). Ce signe est retrouvé chez 70% des femmes atteintes du SOPK (5)
• un acné ;
• une alopécie (perte de cheveux)

Ou signes d’une insuline-résistance :

• un acanthosis nigérians (brunissement et épaississement de la peau dans la région du cou, de l’aine, des aisselles et des replis cutanés)

Des signes métaboliques :

• une prise de poids ou obésité ;
• une augmentation du taux de sucre dans le sang ;

Le facteur héréditaire est à ce jour le seul facteur de risque suspecté.

Diagnostic

L’hétérogénéité clinique du SOPK rend parfois son diagnostic difficile.

En 2003, de premiers critères de diagnostic du SOPK ont été établis. Il s’agit des critères de Rotterdam (6).En 2013, la Société américaine d’endocrinologie a établi de nouvelles recommandations pour le diagnostic du SOPK (7), adoptées en 2014 par la Société européenne d’endocrinologie. Aujourd’hui, le diagnostic de SOPK est posé en présence d’au moins 2 des critères de Rotterdam, à savoir :

• une hyperandrogénie clinique (hirsutisme, acné, alopécie androgénique) ou biologique ;
• une oligo-anovulation (ovulation irrégulière ou absente). Selon les critères de Rotterdam, des cycles inférieurs à 21 jours ou supérieurs à 35 jours sont considérés comme anovulatoires ;
• à l’échographie endovaginale, la présence d'au moins un ovaire avec plus de 12 follicules de 2 à 9 mm et diamètre et/ou un volume ovarien supérieur à 10 ml sans présence de kyste ou de follicule dominant.

Pour établir ce diagnostic, outre l'interrogatoire sur les antécédents médicaux et gynécologiques, différents examens sont réalisés :

• l’analyse des cycles ;
• un examen clinique ;
• un échographie endovaginale des ovaires (en 2D ou 3D) ;
• des dosage hormonaux (testostérone, delta 4 androstenedione, LH, FSH, œstradiol, 17 hydroxyprogestérone, un bilan glycémique et des HCG).

Avant de poser le diagnostic de SOPK, il est important d’écarter d’autres pathologies : une hyperplasie congénitale des surrénales, une hyperprolactinémie, un trouble de la thyroïde.